Depuis mon accident, j'étais le patient le plus patient de mon médecin traitant, mais si vous tardez à m'envoyer un chèque, je serai le plus impatient de vos clients.
Jusqu'à présent, nous étions fait pour nous entendre: je vous payais mes primes, vous me remboursiez mes accidents. Mais si, maintenant, vous me cherchez noise pour une quittance réglée avec retard, où allons-nous?
J'ai été verbalisé sous prétexte que le certificat d'assurance apposé sur mon pare-brise était périmé. La marée-chaussée m'agresse, les portes de votre agence sont closes le lundi matin; quant à moi je suis saisi d'un doute: être ou ne pas être assuré!
Tout d'abord je vous dis bonjour, ensuite je vous dis que je vous écris pour vous dire qu'une dame m'a dit que j'avais éraflé sa voiture avec mon vélo.
Depuis l'accident, j'ai des mots de tête.
Ma voiture a subi d'importants dommages corporels.
J'ai décidé de ne pas prendre d'assurance responsabilité cette année car je ne vois pas qui pourrait me poursuivre: je suis si inoffensif!
Étant sorti de l'hôpital et sur le point de reprendre mes activités professionnelles, je vais à nouveau utiliser ma voiture. À cette occasion, je vous demande de bien vouloir redémarrer mon assurance.
À la suite de mon accident du mois dernier, ma voiture a été convoquée par l'expert pour lui montrer ses dommages.
J'ai malheureusement rencontré un trottoir avec ma voiture neuve.
L'autre voiture a frappé la mienne sans m'avertir de ses plans.
J'ai dit au policier que je n'étais pas blessé, mais en ôtant mon chapeau, j'ai vu que j'avais une fracture du crâne.
Le piéton ne savait plus par où passer, alors je suis passé dessus.
Je n'ai pas pu freiner à temps et ma voiture a embouti l'autre véhicule. Le conducteur et le passager sont partis immédiatement en vacances avec blessures.
La cause indirecte de l'accident est un petit homme, dans une petite voiture, avec une grande gueule.
Le pauvre type était partout à la fois. J'ai été obligé de donner plusieurs coups de roue avant de le frapper.